«Tous peuvent entendre mais seuls les êtres sensibles comprennent.»
 Khalil Gibran 

Remplie d'amour

de bonheur

et de la joie

Merci pour votre fidélité malgré mon absence  

Barbara

Meditation…La paix Intérieur

C'est déjà bien de regarder le monde tel qu'il est, et de se demander: « Pourquoi ? ». Mieux encore serait de voir ce qu'il pourrait être et de se dire: « Pourquoi pas ? »…Pourquoi ne pas tenter des changements donner un avis, un conseil, et avoir un esprit ouvert pour s’entraider les uns et les autres croire que tout est possible dans la vie il ne suffit que suffisamment de peu de volonté et de courage aussi, et essayer de renoncer totalement à ce à quoi on est attaché, par exemple à un lieu, à un objet ou même à une personne, accueillir ce que nous offre la vie, l’univers et y croire que ce n’est que notre destin sans juger…Dieu aurait pu nous créer semblables aux anges, mais Il ne l’a pas fait : Il nous a plutôt créés de telle manière qu’ont soient susceptibles d’être éprouvés, de prendre notre responsabilités, de réussir ou d’échouer. Dieu raffermit nos pas dans la voie du bien et nous prédispose à l’accomplir, et celui qui d’entre nous se dirige vers la gauche, Dieu ne lui arrête pas les battements de son cœur ni n’empêche ses pieds de se mouvoir… Il dirige l’Homme là où l’Homme se dirige lui-même alors, nous devons être le changement que nous désirons voir en ce monde. La différence entre un jardin et un désert, ce n'est pas l'eau, c'est nous. Ne pas mourir sans avoir joué notre propre musique intérieure… Ecouter notre cœur. Prendre des risques pour notre passion, savoir que l'échec n'est qu'une illusion et qu'il ne faut pas en avoir peur du temps car le temps sera le maître de celui qui n'en à point… Nous ne pourrons rien attendre de la vie, tant que nous n’aurons pas compris que c’est elle qui attend de nous, aussi nous ne pourrons pas donner ce que nous ne possédons pas. Changeons ce que nous n'aimons pas en nous, aimons-nous même et respectons nous les uns les autres… Trouvons notre but, adoptons le silence comme philosophie, découvrons la valeur du silence…  Intégrons plus de silence dans notre vie. Prenons consciemment contact avec Dieu le Créateur, celui qui nous a créé, parmi tant d’autres créatures et il nous a confié une mission sur cette terre, d’être son gérant. Tout en nous donnant un sens et une finalité à notre vie.  Renonçons à nos histoires personnelle, ne nous raccrochons pas au passé, oublier  le passé ne veut pas dire généralement l’effacer… Vivons l'instant présent et acceptons la réalité telle qu'elle est, ce qui est passé a fui, ce que tu espère est absent; seul le présent est à toi. Il est impossible de résoudre un problème avec le même esprit que nous l’avons créé, acceptons le monde tel qu'il est et sachons qu'il existe un lien entre chaque individus, que nous sommes tous membre de la famille humaine engageons nous  à vivre dans l'harmonie en tenant compte de tous les éléments de notre humanité. Vivons sans oublier la mort, méditons sans négliger l'action de bien et de justice, se savoir seul et vivre parmi les hommes, nourrissons  notre esprit comme on nourrit notre  corps et restons exigeant dans la recherche de l'équilibre. Le bonheur est la seule chose qui se double si on le partage. Il n'y a pas de ressentiment justifié acceptons l'opinion des autres même si elle est différente de la nôtre…Pardonnons à ceux dont nous pensons qu'ils nous ont blessé. Quand la roue du chariot est brisée, nombreux sont ceux qui vous disent par où il ne fallait pas passer. Traitons-nous comme la personne que nous aimerions être… Il faut faire partout place à l'inspiration. Le courage grandit en essayant, la peur en hésitant. Chérissons le divin en nous le créateur il a prescrit des devoirs, ne les négligeons pas; il a institué des limites, ne les outrepassons pas; il a prohibé certaines choses, ne les transgressons pas. Il s'est tût au sujet de certaines choses, par bonté envers nous, non par oubli ou par omission, ne cherchons pas à les connaître. Il a fait de nous créateur de notre propre vie et de note liberté le témoignage quotidien de cette reconnaissance est notre responsabilité notre  façon, par la mémoire et le geste, de célébrer les louanges du Créateur de ce même chant que libère le battement des ailes de l'oiseau, la succession des jours et des nuits ou la graine, quand elle se fend en donnant la vie et du monde dans lequel nous vivons. La sagesse consiste à éviter toute pensée affaiblissante notre esprit se nourrit avec des pensées de paix, d'amour, d'acceptation et de bonne volonté quoi que nous ferions, ce sera toujours insignifiant, mais il est très important que nous le fassions. On ne décide pas consciemment de se révolter, la révolte est une impulsion elle monte en nous et nous fait prendre conscience de notre état d'insatisfaction, elle libère nos mécontentements et nous donne l'énergie de les régler. L'échec n'est rien d'autre que le succès, qui essaie de naître sous une forme plus grandiose. Ce qui reste à faire est plus important que ce que nous avons déjà fait. Les mots ne feront la vie que si nous joignions l'acte à la parole. La différence des peuples et des nations, les spécificités de cultures, le particularisme des coutumes a été voulu par le créateur. C'est une richesse, mais c'est aussi une épreuve, tant il est difficile pour nous de concevoir et de vivre la différence sous tous ces aspects. Elle est un fait, elle est un défi. La meilleure façon de le relever, de faire face à cet aspect de la vie terrestre, est de rivaliser de bonté... dans tous nos actes, au creux de toutes nos pensées. Avec nos gestes, avec nos mots, avec notre cœur. De tous les horizons et de toutes les couleurs, à témoigner de l'exigence de vérité, de bien et de justice.

  Barbara

Sorry… je suis désolée de ne pas pouvoir être plus présents sur VIP et ne pas passer plus souvent sur vos blogs…

  Mais malheureusement pas trop le temps… mais promis je reviendrais le plus vite possible…  je vous souhaite a tous et toutes une bonne journée…ainsi un bon week-end...

« La terre est ma patrie et l'humanité, ma famille »
Khalil Gibran